[{"label":"Accueil","url":"https:\/\/www.pbo-dpb.ca\/fr"},{"label":"Publications","url":"https:\/\/www.pbo-dpb.ca\/fr\/publications"},{"label":"Prestation canadienne de la relance \u00e9conomique pour proches aidants (PCREPA) \u2013 prolongation de 28 semaines","url":"https:\/\/www.pbo-dpb.ca\/fr\/publications\/LEG-2122-021-S--canada-recovery-caregiver-benefit-crcb-28-week-extension--prestation-canadienne-relance-economique-proches-aidants-pcrepa-prolongation-28-semaines"}]

Prestation canadienne de la relance économique pour proches aidants (PCREPA) – prolongation de 28 semaines

Publié le 30 novembre 2021 PDF(s'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Le 21 octobre 2021, le gouvernement a annoncé qu’il prolongeait de 28 autres semaines la période d’admissibilité à la Prestation canadienne de la relance économique pour proches aidants (PCREPA), et de deux semaines la durée maximale des prestations, la faisant ainsi passer à 44 semaines. Cette mesure entrera en vigueur après la semaine du 20 novembre 2021.

La PCREPA est une prestation hebdomadaire imposable de 500 $ par ménage accordée aux travailleurs qui doivent s’absenter pendant au moins 50 % de leur temps de travail normal, au cours d’une semaine, pour s’occuper d’une personne pour des raisons dues à la COVID-19.

Pour être admissibles, les travailleurs doivent avoir gagné au moins 5 000 $ en 2019, en 2020 ou au cours des 12 mois précédant leur demande pour la PCREPA. Ils ne seront pas admissibles à la PCREPA s’ils bénéficient déjà d’autres prestations (comme la Prestation canadienne de la relance économique, la Prestation canadienne de maladie pour la relance économique ou des prestations d’assurance-emploi). Ce programme prendra fin le 7 mai 2022.

Tel que proposé par le projet de loi C-2, le gouvernement a annoncé qu’il prolongeait de 28 autres semaines la période d’admissibilité à la Prestation canadienne de la relance économique pour proches aidants (PCREPA), et de deux semaines la durée maximale des prestations, la faisant ainsi passer à 44 semaines[^1]. Cette mesure entrera en vigueur après la semaine du 20 novembre 2021.

La PCREPA est une prestation hebdomadaire imposable de 500 $ par ménage accordée aux travailleurs qui doivent s’absenter pendant au moins 50 % de leur temps de travail normal, au cours d’une semaine, pour s’occuper d’une personne pour des raisons dues à la COVID-19.

Pour être admissibles, les travailleurs doivent avoir gagné au moins 5 000 $ en 2019, en 2020, en 2021 ou au cours des 12 mois précédant leur demande pour la PCREPA. Ils ne seront pas admissibles à la PCREPA s’ils bénéficient déjà d’autres prestations (comme la Prestation canadienne de la relance économique, la Prestation canadienne de maladie pour la relance économique ou des prestations d’assurance-emploi). Ce programme prendra fin le 7 mai 2022.

Le DPB a utilisé les données publiées sur le nombre hebdomadaire de demandes de PCREPA pour estimer le nombre de demandes qui seront présentées chaque semaine à compter du début de la période de prolongation, en présumant que celle-ci commencerait le 24 octobre 2021[^3]. Pour prévoir les montants des paiements faits au titre de la PCREPA qui seront recouvrés grâce à l’impôt sur le revenu des particuliers, on a utilisé un taux d’imposition marginal fédéral sur le revenu obtenu à partir des données sur le revenu des demandeurs pour 2019.

Selon les estimations du DPB, il en coûtera 366,6 millions de dollars pour prolonger la période d’admissibilité à la PCREPA de 28 semaines et prolonger la durée maximale des prestations de deux semaines.

Jusqu’à maintenant, les estimations ont été fondées sur le nombre de demandes de PCREPA reçues. Le rapport entre le nombre de demandes et le nombre de cas de COVID-19 pourrait changer. L’estimation des coûts est fonction des aléas de la pandémie de COVID-19. Enfin, le coût de la prolongation supplémentaire du programme dépendra de la manière dont le programme sera administré.

  • Les estimations sont présentées selon la méthode de la comptabilité d’exercice, telles qu’elles figureraient dans le budget et les comptes publics.

  • Les chiffres positifs diminuent le solde budgétaire; les chiffres négatifs l’augmentent.

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