[{"label":"Accueil","url":"https:\/\/www.pbo-dpb.ca\/fr"},{"label":"Publications","url":"https:\/\/www.pbo-dpb.ca\/fr\/publications"},{"label":"Prestation canadienne d\u2019urgence (PCU) \u2013 Mise \u00e0 jour","url":"https:\/\/www.pbo-dpb.ca\/fr\/publications\/LEG-2021-030-S--canada-emergency-response-benefit-cerb-update--prestation-canadienne-urgence-pcu-mise-jour"}]

Prestation canadienne d’urgence (PCU) – Mise à jour

La Prestation canadienne d’urgence (PCU) est une prestation imposable qui permettrait d’offrir 500 $ par semaine, pendant une période maximale de 16 semaines, aux travailleurs qui perdent leur revenu pour des raisons liées à la COVID 19 . Il s’agit notamment des Canadiens qui perdent leur emploi, tombent malades, sont mis en quarantaine ou prennent soin d’une personne atteinte de la COVID 19, ainsi que des parents qui doivent cesser de travailler pour s’occuper d’enfants malades ou pour rester à la maison en raison de la fermeture des écoles et des garderies. Par travailleur, on entend quiconque a touché, au cours des 12 mois précédents, au moins 5 000 $ provenant d’un revenu d’emploi, d’un revenu de travail indépendant, de prestations d’assurance emploi ou d’autres prestations provinciales énoncées dans le projet de loi C 13. Les travailleurs qui gagnent moins de 1 000 $ pendant quatre semaines sont admissibles à la PCU. Les personnes qui ont épuisé leurs prestations régulières d’assurance-emploi entre le 29 décembre 2019 et le 3 octobre 2020 le sont également. Le DPB estime que le coût total du programme s’élèvera à 53.4 milliards de dollars pour l’exercice 2020 2021.

La Prestation canadienne d’urgence (PCU) est une prestation imposable qui permettrait d’offrir 500 $ par semaine, pendant une période maximale de 16 semaines, aux travailleurs qui perdent leur revenu pour des raisons liées à la COVID‑19[^1]. Il s’agit notamment des Canadiens qui perdent leur emploi, tombent malades, sont mis en quarantaine ou prennent soin d’une personne atteinte de la COVID‑19, ainsi que des parents qui doivent cesser de travailler pour s’occuper d’enfants malades ou pour rester à la maison en raison de la fermeture des écoles et des garderies.

Par travailleur, on entend quiconque a touché, au cours des 12 mois précédents, au moins 5 000 $ provenant d’un revenu d’emploi, d’un revenu de travail indépendant, de prestations d’assurance‑emploi ou d’autres prestations provinciales énoncées dans le projet de loi C‑13.

Les travailleurs qui gagnent moins de 1 000 $ pendant quatre semaines sont admissibles à la PCU. Les personnes qui ont épuisé leurs prestations régulières d’assurance-emploi entre le 29 décembre 2019 et le 3 octobre 2020 le sont également.

Le DPB a mis-à-jour le modèle utilisé pour établir son évaluation antérieure du coût de la PCU avec de nouvelles données provenant de l’Enquête sur la population active et de nouvelles projections de la population active[^3]. Les hypothèses en lien avec la participation à la SSUC ont également été révisées.

Afin d’incorporer les réactions comportementales à la PCU, le DPB a utilisé l’Enquête sur la population active de mars et avril 2020 pour tenter d’isoler les travailleurs qui pourraient avoir rajusté leur offre de travail en réponse aux incitatifs découlant de la PCU. La réaction comportementale au modèle de la PCU est basée sur les travailleurs ainsi recensés.

Le DPB estime que le coût total du programme s’élèvera à 53.4 milliards de dollars pour l’exercice 2020‑2021.

La présente estimation est très sensible aux perspectives économiques présumées et à la probabilité de contracter la COVID-19. Faute de microdonnées sur les bénéficiaires de la PCU, toute estimation de la réaction comportementale à la PCU est très incertaine et repose sur des hypothèses hardies.

Une incertitude supplémentaire découle de la manière dont la mesure proposée sera administrée (plus précisément l’étendue et l’intensité des activités de contrôle de conformité) et de la participation réelle à la SSUC.

  • Les estimations sont présentées selon la méthode de comptabilité d’exercice, telles qu’elles figureraient dans le budget et les comptes publics.
  • Un nombre positif indique une détérioration du solde budgétaire (en raison d’une baisse des revenus ou d’une augmentation des charges). Un nombre négatif indique une amélioration du solde budgétaire (en raison d’une hausse des revenus ou d’une baisse des charges).
  • « - » = Le DPB ne prévoit pas de coût financier.
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